LE ROI PELE ET MARADONA

LE ROI PELE ET MARADONA SONT ETERNELS

LA SIMILITUDE

Humiliées, l’une par les Pays-Bas et l’autre par l’Allemagne, les observateurs du ballon rond pensaient assister à une chasse aux hommes dans leurs pays respectifs après leurs éliminations de la coupe du monde en Afrique du Sud.

Heureux d’un retour à la source de toutes les races confondues en Afrique, le berceau de l’humanité, eh bien, ce sont tous des champions du monde. Arrivés sur les tarmacs des aéroports, les joueurs et les délégations ont été surpris d’un accueil chaleureux qu’ils n’attendaient pas, le retour des héros.

Mon Dieu ! Nous, respectivement les entraîneurs, les joueurs et les délégations, nous sommes aimés !

- Bonjour, Maradona ! C’est ton frère Pelé au téléphone !

- Bonjour mon frère ! Tu te souviens de ton insulte ?

- Mais non ! C’était un bizutage parce que tu as fait le tour du monde et que tu n’es jamais venu en Afrique.

- Ah, les anciens ! Les rires de Maradona !

- Et alors ? J’ai vu le jour avant toi !

- Sauf que tu me dis des choses qui m’énervent !

- Pourquoi t’énerver ? Arrête ! C’est toi la star de ce mondial, non !

- Oui ! C’est vrai ! Tu as raison, mon frère !

LORSQUE LE BRESIL ET L’ARGENTINE CRAQUENT

LES OMBRES DE PELE ET MARADONA

Au lieu de jouer au ballon, surpris par une vitesse de jeu à laquelle ils ne s’attendaient pas de la part de leurs adversaires du jour, les brésiliens cherchent en vain dans la tribune le roi Pelé pour qu’il vienne marquer le but de l’égalisation, ne fusse que pour aller en prolongation.

- Je suis déjà vieux… !  répondait avec émotion le roi Pelé devant sa télévision.

Pareil pour les argentins. Leurs yeux regardaient Diego Maradona pour qu’il vienne marquer un but pour l’honneur. Il est toujours habillé d’un costume impeccable, le chapelet sur sa main d’homme qui croie en Dieu. Un jour viendra, Maradona gagnera une coupe du monde comme entraîneur…

- Les enfants ! C’est juste… hein ! Hein ! But ! C’est facile, non !

LES NEERLANDAIS AU SOMMET DU BALLON ROND 32 ANS APRES

Ah ! Les filles néerlandaises ! C’est un pari gagné d’avance, quel que soit le résultat de la finale de la coupe du monde. Désormais, qui veut aller en finale d’une coupe du monde doit ramener des filles en tenue provocatrice selon ces gens-là, alors que c’est un bien-être, ne fusse que pour les yeux.

Les beautés, associées à la Vuvuzela, accompagnaient les télévisions du monde entier, les cameramans ne veulent rien rater. Quant aux charmes des journalistes reporters, le mot d'ordre est qu'il faut de relâcher.

Le secret du match gagné par l’équipe néerlandaise, c’est de belles filles qui dansent le bonobo à chaque rencontre. « Ok ! C’est beau ! » Commentent les journalistes. Les équipes adverses dansent aussi au lieu de faire le jeu ; du jamais vu !

L’argent et la femme sont connus comme étant des remèdes qui guérissent tout. S’en passer, surtout lors d’une compétition comme la coupe du monde, surtout en Afrique, est une grosse erreur.